Porté par l’ineffable douceur de ta Présence,
Le silence s’est fait.
Dans la grâce d’un élan souverain
Je peux enfin avancer
Vers mon âme blessée.
Dans cette majestueuse étreinte,
D’une infinie tendresse,
Toute barrière s’efface,
L’infini se dévoile
Et se révèle alors la splendeur du néant.
Tout cela pour Rien !
Que c'est drôle !